La dépression affecte plus de 3 millions de Français par an. Mais saviez-vous qu’il existe un traitement naturel très efficace? L’inositol – ou vitamine B7.
La carence en inositol est liée à la dépression
Une étude de 1995 a montré des résultats étonnants pour traiter la dépression avec l’inositol. Comme il est expliqué dans l’American Journal of Psychiatry (Vol. 152, n°5), « l’amélioration globale des scores sur l’échelle de dépression de Hamilton était significativement plus élevée pour l’inositol que pour le placebo à la semaine 4. Aucun changement n’a été noté en hématologie, dans la fonction rénales ou hépatique… l’inositol a eu un effet antidépresseur significatif dans cette étude ».
Une étude de 2001 a continué à relever des résultats impressionnants, et « continue à signaler l’efficacité de l’inositol dans le traitement de la dépression, des troubles de panique, des troubles obsessionnels-compulsifs et devrait encourager les études de réplication ».
Pourtant, la médecine conventionnelle (dans toute sa sagesse) continue de traiter la dépression avec des médicaments pharmaceutiques, malgré les conclusions d’une étude réalisée en 2010 indiquant que « le bénéfice des antidépresseurs par rapport au placebo peut être minime ou inexistante chez les patients présentant des symptômes légers ou modérés ».
Mon sentiment est que, même si vous souffrez de dépression, vous n’avez pas entendu parler de cette étude. Et j’irais même plus loin en pensant que la plupart d’entre vous n’avez jamais entendu parler de l’inositol.
Eh bien, si c’est votre cas, ce n’est pas étonnant. Trop peu de médecins connaissent les bienfaits de cette substance vitale – et c’est vraiment un comble! Le ministère de la santé estime que plus de 3 millions de français souffrent d’un trouble dépressif majeur, et malheureusement ce nombre ne comprend pas ou ne reflète pas la dépression légère non diagnostiquée ou la dépression qui affecte les enfants. Mais chaque année, les médecins prescrivent des quantités croissantes d’antidépresseurs, ce qui correspond à un bénéfice de plusieurs milliards d’euros (par an) pour les laboratoires pharmaceutiques.
Naturellement, de nombreux antidépresseurs prescrits aujourd’hui viennent avec une longue liste d’effets indésirables y compris le risque accru d’idées suicidaires, en particulier chez les patients les plus jeunes. D’autres effets secondaires incluent:
- Sécheresse de la bouche
- Somnolence
- Vertiges
- Dysfonction sexuelle
- Vision floue
- Eruption cutanée
- Gain ou perte de poids
- Insomnie ou sommeil prolongé
- Irritation
- Anxiété
Ouf!
Les antidépresseurs font plus de mal que de bien
Où se tourne une personne lorsque les médicaments prescrits causent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent? En particulier quand les médecins s’opposent à l’utilisation de solutions nutritionnelles et reconnaissent encore moins que nous vivons dans un pays où l’alimentation est déficiente?
Malheureusement, la réponse est que beaucoup de gens choisissent enfin d’essayer la voie naturelle pour constater ensuite que cela n’a pas fonctionné. C’est souvent dû aux raisons suivantes:
- Ils ne prennent pas les nutriments assez longtemps pour éprouver un changement
- Ils avaient besoin de prendre l’élément nutritif dans un dosage plus élevé, mais ne l’ont pas fait par peur de « toxicité »?
- Ils ont été déconcertés du fait des contradictions et des désinformations concernant les méthodes naturelles et ont simplement abandonné, encore plus déprimés que lorsqu’ils ont commencé!
Toutes ces raisons énumérées ci-dessus peuvent être évitées. Malgré les recherches positives approfondies sur de nombreux traitements naturels, nos dictateurs des « soins de santé » se focalisent sur les médicaments et les profits, et les patients en sont venus à attendre une solution rapide au lieu d’un changement de mode de vie. Et la responsabilité incombe en grande partie à l’agence des médicaments.
Votre bien-être n’est pas dans l’intérêt de l’agence des médicaments
Il est intéressant de constater que les instances médicales se vantent d’un taux de sécurité de près de 95% en ce qui concerne les antidépresseurs. Toutefois, ce pourcentage est dangereusement biaisé, donnant au patient un faux sentiment que le médicament qu’il prend est réellement sans danger.
Le docteur Ann Blake Tracy, auteur de « Prozac : panacée ou poison » a dit ce qui suit de la corrélation alarmante entre l’utilisation des antidépresseurs, le comportement humain et la santé humaine:
« Nous n’avons constaté aucune baisse des suicides, mais une augmentation des suicides avec meurtre, des suicides, des grossesses hors mariage, de la violence domestique, de la dépression maniaco-dépressive, des scléroses en plaques, de l’hypoglycémie, du diabète, des faillites, des divorces, de parents qui tuent leurs enfants, de colère au volant, de fusillades dans les écoles, du cancer, du syndrome de fatigue chronique et de la fibromyalgie, car ces médicaments sérotoninergiques sont devenus si populaires et je relie tout cela directement aux effets de ces médicaments ».
L’overdose est aussi un problème, selon un communiqué de presse de 2013 du centre pour le contrôle des maladies américain:
En 2010, près de 60% des décès par overdose (22 134) ont impliqué des médicaments…. Les chercheurs ont également constaté que les médicaments souvent prescrits pour les troubles de santé mentale ont été impliqués dans un nombre important de décès par overdose de médicaments. Les benzodiazépines (anxiolytiques) ont été impliquées dans près de 30% (6497) de ces décès par overdose de médicaments, les antidépresseurs dans 18% (3889) et les médicaments antipsychotiques dans 6% (1351).
Plus concernant les antidépresseurs soi-disant « sûrs »
Le Docteur Joseph Glenmullen, instructeur clinique en psychiatrie à la Harvard Medical School, a traité des patients avec du Prozac et a découvert des problèmes de sécurité importants. Il a écrit: « Etude personnelle: retour de feu du Prozac: surmonter les dangers du Prozac, du Zoloft, du Paxil, et des autres antidépresseurs avec des alternatives sûres et efficaces » afin de mettre en lumière la véritable occultation sur la façon dont les médicaments sont approuvés par notre « respectée » Agence des médicaments. Une lecture qui s’impose absolument!
Bien entendu, tout traitement potentiel dépend de l’approbation de l’agence des médicaments. Et si une allégation est faite concernant une vitamine, des minéraux, ou un autre supplément naturel sans l’approbation de l’agence des médicaments, vous pourriez être soumis à une lourde amende et/ou une peine de prison. Cependant, même lorsque la recherche nécessaire est menée à terme, avec des résultats positifs prouvés, ceux-ci sont souvent enterrés ou des résultats seulement partiels sont autorisés à voir le jour. Des études négatives stratégiquement placées apparaissent, le reproche des sceptiques et de la communauté pro-médicament est que l’étude n’a pas été pratiquée sur une cohorte suffisante pour être significative et que les effets à long terme sont encore peu clairs.
Eh bien, ce qui suit illustre le problème de la recherche « éthique et impartiale ». Le Docteur Joseph Glenmullen a constaté que le congrès américain a accepté lui-même d’être manipulé par Big Pharma – et ce n’est pas un grand secret. De façon choquante, les médicaments sont systématiquement approuvés, sans confirmation de la sécurité à long terme! Et les études à court terme (6-8 semaines) ont souvent été conçues et menées dans un seul but: l’approbation du marché.
Si une étude est conçue pour des résultats spécifiques, à quel point les résultats sont-ils impartiaux? Pensez-vous que les résultats sont biaisés? Vous pouvez en être sûr. Et si vous êtes celui qui a confiance dans l’approbation de l’agence des médicaments, détrompez-vous pour le bien de votre propre santé!
Réfléchissez-y encore!
Lorsque des études trouvent qu’une substance naturelle est efficace contre la dépression, sans les affreux effets secondaires, et que c’est une substance dont le corps a réellement besoin, pourquoi ne lui donne-t-on pas la moindre attention?
Si l’agence des médicaments mettent vraiment la priorité sur notre santé, alors pourquoi ne mettent-elles pas leur sceau d’approbation sur l’inositol aussi vite qu’elle ne l’ont fait pour des médicaments comme le Prozac?
Si une substance naturelle aide à apporter l’équilibre à notre biochimie, ne serait-t-il pas logique que nous ayons probablement des carences nutritionnelles?
Ramener le corps à l’équilibre ne parait-il pas être l’approche intelligente de la santé et du bien-être, plutôt que de prendre des médicaments chimiques avec de sérieux effets secondaires, et qui, de plus, ne font que masquer les symptômes?
Où sont les médias, s’ils sont vraiment impartiaux?
Et, plus important encore, pourquoi nous, le public, ou devrais-je dire les cobayes de l’agence des médicaments, sommes-nous abusés et avons-nous à implorer pour savoir la vérité?
Aliments riches en inositol
En cas de dépression il est conseillé d’augmenter l’apport en inositol avec l’alimentation, et si ce n’est pas suffisant, opter pour la supplémentation.
L’inositol est une substance indispensable qui a tendance à diminuer avec une alimentation raffinée et un mode de vie stressant. Les antibiotiques inhibent la synthèse d’inositol et induisent une déficience.
Les meilleures sources alimentaires d’inositol comprennent les abats, les oeufs, les agrumes, le melon, le rutabaga, les haricots verts, les artichauts, les kiwis, les nectarines, les haricots secs, les pois cassés, les mûres, le riz brun, les oléagineux, les légumes à feuilles vertes foncées, les graines germées, les germes de blé et d’orge.
Supplémentation – témoignagnes
« Dernièrement, en faisant des recherches sur le net, j’ai décidé de prendre de la B7 (inositol) à haute dose. Et là, agréable surprise, même en situation de stress (ces situations de stress qui génèrent des crises d’angoisses chez les gens atteints de TOC), je suis restée sereine, à ma plus grande surprise. Si d’autres personnes peuvent me faire part de leurs recherches nutritionnelles pour parvenir à un « mieux être émotionnel », je serais ravie de partager mes propres expériences. En tout cas, si vous êtes de type angoissé (TOC ou autres…), n’hésitez pas à tenter la B7. » (source)
« Pour l’instant je ne ressens pas d’effet sédatif, en tout cas pas flagrant, j’ai commencé à 2 fois 6g sans trop d’effet, alors je suis passé à 3 fois et j’ai l’impression qu’il y a déjà une nette différence ! » (source)
Source : www.sante-nutrition.org